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UN POUR TOUS-TOUS POURRIS !
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UN POUR TOUS-TOUS POURRIS !
Article France trois : http://mediterranee.france3.fr/info/54760897-fr.php
Michel Vauzelle Pdt PS de la région Paca, va gérer personnellement la délégation à la politique de la ville
Au Conseil Régional , la politique de la ville était jusque là confiée à la vice-présidente de la région, la députée PS Sylvie Andrieux. Cette décision, annoncée dans un communiqué, intervient dans le contexte d'une enquête sur des détournements de fonds publics par des associations présumées fictives à Marseille.
Ces détournements portant sur plusieurs centaines de milliers d'euros ont entraîné la mise en examen jusqu'ici de 14 personnes.Les associations, soupçonnées d'être des "coquilles vides", auraient demandé des subventions et reçu des fonds du Conseil régional, mais aussi du Conseil général des Bouches-du-Rhône, pour un total de l'ordre de 700.000 euros, selon une source judiciaire. Le nom de Mme Andrieux avait été cité par plusieurs organes de presse, en lien avec cette enquête. Selon le président de la région Paca, la décision de suspendre la délégation dont elle avait la charge a été prise pour que "l'enquête concernant un éventuel détournement de subventions au préjudice du Conseil régional se déroule dans des conditions nécessaires au respect des intérêts de la Région et de ses citoyens". Rappelant qu'il a déposé plainte, M. Vauzelle indique qu'il "attend de la procédure en cours qu'elle apporte, dans les meilleurs délais les éclaircissements indispensables pour que la justice passe et que la Région obtienne réparation du préjudice subi". Parmi les personnes mises en examen dans le cadre de l'enquête en cours figure un fonctionnaire territorial du Conseil régional, qui a été suspendu. Le Conseil régional avait indiqué avoir saisi le parquet dès novembre 2007 dans cette affaire.
Michel Vauzelle Pdt PS de la région Paca, va gérer personnellement la délégation à la politique de la ville
Au Conseil Régional , la politique de la ville était jusque là confiée à la vice-présidente de la région, la députée PS Sylvie Andrieux. Cette décision, annoncée dans un communiqué, intervient dans le contexte d'une enquête sur des détournements de fonds publics par des associations présumées fictives à Marseille.
Ces détournements portant sur plusieurs centaines de milliers d'euros ont entraîné la mise en examen jusqu'ici de 14 personnes.Les associations, soupçonnées d'être des "coquilles vides", auraient demandé des subventions et reçu des fonds du Conseil régional, mais aussi du Conseil général des Bouches-du-Rhône, pour un total de l'ordre de 700.000 euros, selon une source judiciaire. Le nom de Mme Andrieux avait été cité par plusieurs organes de presse, en lien avec cette enquête. Selon le président de la région Paca, la décision de suspendre la délégation dont elle avait la charge a été prise pour que "l'enquête concernant un éventuel détournement de subventions au préjudice du Conseil régional se déroule dans des conditions nécessaires au respect des intérêts de la Région et de ses citoyens". Rappelant qu'il a déposé plainte, M. Vauzelle indique qu'il "attend de la procédure en cours qu'elle apporte, dans les meilleurs délais les éclaircissements indispensables pour que la justice passe et que la Région obtienne réparation du préjudice subi". Parmi les personnes mises en examen dans le cadre de l'enquête en cours figure un fonctionnaire territorial du Conseil régional, qui a été suspendu. Le Conseil régional avait indiqué avoir saisi le parquet dès novembre 2007 dans cette affaire.
hermod- Messages : 438
Date d'inscription : 01/10/2008
Re: UN POUR TOUS-TOUS POURRIS !
de droite ou de gauche, l'argent a la même odeur !
port-st-louisienne- Messages : 139
Date d'inscription : 18/04/2009
Re: UN POUR TOUS-TOUS POURRIS !
Ce qui risque de pas étre triste, c'est l'audit qui sera demandé à la fin du mandat de l'équipe actuelle. On pourra peut étre savoir où passe nos impots. Attention loin de moi l'idée d'accuser qui que se soit, de détournements de fonds. mais plutot de savoir qui a eu les mains percées, et les erreur monumentales, dans le genre de faire un emprunt au plus mauvais moment sans savoir pourquoi.
bernard- Messages : 13
Date d'inscription : 05/01/2009
ou passe notre argent
ou passe notre argent?
j'ai pas bessoin d'audit, on le sait tous.
renlouement du PC, et méme plus grave enrichissement de certain élus.
sur j'ai pas de preuves.
mais bon au prochain élection ils faudrat faire pression pour qu'il y ai une enquette.
je veut bien me lever le cul honnettement pour payer des impots pour l'avenir de mes gosses, mais pas pour enrichir ces gros feignants qui veulent pas travailler, et ces profiteurs pulic qui savent bien parler et nous embobinent tous les 4 ou 5 ans pour obtenir nos voix et s'enrichir sur notre dos.
j'ai pas bessoin d'audit, on le sait tous.
renlouement du PC, et méme plus grave enrichissement de certain élus.
sur j'ai pas de preuves.
mais bon au prochain élection ils faudrat faire pression pour qu'il y ai une enquette.
je veut bien me lever le cul honnettement pour payer des impots pour l'avenir de mes gosses, mais pas pour enrichir ces gros feignants qui veulent pas travailler, et ces profiteurs pulic qui savent bien parler et nous embobinent tous les 4 ou 5 ans pour obtenir nos voix et s'enrichir sur notre dos.
un conu- Messages : 12
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: UN POUR TOUS-TOUS POURRIS !
et oui,il faut des sous pour acheter des oranges pour les suspectés de trafic de drogue locaux
Sans parler des combines qui commencent à apparaitre .
Sans parler des combines qui commencent à apparaitre .
blaireau- Messages : 22
Date d'inscription : 05/08/2009
Re: UN POUR TOUS-TOUS POURRIS !
OUI ET VA ETRE VIGILANT.
ON VAT PAS LES LAISSER FAIRENT!
ON VAT PAS LES LAISSER FAIRENT!
un conu- Messages : 12
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: UN POUR TOUS-TOUS POURRIS !
Bientôt les élections, il est temps de raviver un ancien post mais avec quelques nouvelles fraiches !
Nos "Topaze" n'en finissent plus de se distinguer :
Perquisition au Conseil Général concernant des fraudes sur les passations de marchés publics :
Perquisitions au conseil général 13
La chute de la Maison Guérini
Notre président du SAN qui aurait perçu des pots de vin sur les marchés publics des déchets :
Bernard Granié: maximum requis
Des affaires d'associations bidons qui ressurgissent :
Des enquêtes judiciaires perturbent la campagne socialiste en Paca
C'est vraiment une honte, et dire qu'il vont remontrer leurs gueules de c.. sur les affiches pour mendier nos voix, ou pire faire un meeting à PSL !! Il faudrait les huer vigoureusement, leur faire sentir que le citoyen lambda en a marre de payer pour entretenir ces parasites qui magouillent à qui mieux mieux...
Nos "Topaze" n'en finissent plus de se distinguer :
Perquisition au Conseil Général concernant des fraudes sur les passations de marchés publics :
Perquisitions au conseil général 13
La chute de la Maison Guérini
Notre président du SAN qui aurait perçu des pots de vin sur les marchés publics des déchets :
Bernard Granié: maximum requis
Des affaires d'associations bidons qui ressurgissent :
Des enquêtes judiciaires perturbent la campagne socialiste en Paca
C'est vraiment une honte, et dire qu'il vont remontrer leurs gueules de c.. sur les affiches pour mendier nos voix, ou pire faire un meeting à PSL !! Il faudrait les huer vigoureusement, leur faire sentir que le citoyen lambda en a marre de payer pour entretenir ces parasites qui magouillent à qui mieux mieux...
hermod- Messages : 438
Date d'inscription : 01/10/2008
Re: UN POUR TOUS-TOUS POURRIS !
J'ai oublié les "casseroles du maire d'Istres" aussi vice président d' Ouest Provence ! au lieu de mettre un lien, je reproduit l'article de l'express du 03/12/98 dans son intrégralité, ça vaut la lecture, notamment sur la gestion des associations, des oeuvres sociales communales et j'en passe ou comment empocher l'argent des contribuables...
Ouest Provence a décidement à sa tête des hommes au dessus de tout soupçon !
l'article :
Collectivités locales
Les casseroles de M. Bernardini
Par Nouzille Vincent, publié le 03/12/1998
Apparemment, les ennuis judiciaires du parrain socialiste des Bouches-du-Rhône ne font que commencer
«Affaibli, moi? Est-ce que j'ai l'air d'être affaibli?» Tête froide, voix posée, physique de taureau, François Bernardini, 45 ans, tient d'une main ferme depuis 1990 les rênes de la puissante fédération du Parti socialiste des Bouches-du-Rhône. Et, bien qu'il ait été démis d'office en juin dernier de tous ses mandats locaux pour irrégularités de gestion et mis en examen l'an passé, notamment pour détournement de fonds, il n'entend rien lâcher. Ce ne sont pas ces broutilles judiciaires qui vont stopper ce bulldozer politique, député européen et fabiusien de choc.
Des broutilles? François Bernardini croule en réalité sous les procédures, dont les rebondissements peuvent empoisonner les hautes instances nationales du PS dans les semaines qui viennent. Ancien adjoint aux finances à la mairie d'Istres, il est en premier lieu mis en cause dans la gestion d'associations paramunicipales (Istres Promotion et Aosvi, Association des oeuvres sociales de la ville d'Istres), largement subventionnées, dont il s'occupait. Ses casquettes d'élu et de dépensier - incompatibles en droit public - lui ont valu, en 1995, d'être jugé «comptable de fait», avec l'ancien maire socialiste d'Istres Jacques Siffre, par la chambre régionale des comptes. Depuis lors, tous deux ont multiplié les procédures. Mais ils ont finalement été forcés de démissionner de leurs mandats locaux par le Conseil d'Etat. Le commissaire du gouvernement avait alors fustigé une «volonté manifeste de se soustraire à la loi en s'inspirant d'un autre homme politique». Allusion meurtrière à Bernard Tapie. Mais François Bernardini n'a cure de ce parallèle: «Je vais engager un recours sur mon inéligibilité devant la Cour européenne de justice», dit-il.
Pourtant, il devra certainement régler de sa poche une partie des dépenses contestées, s'il veut obtenir quitus de sa gestion et redevenir éligible. Au bas mot, à ce jour, il y en a pour environ 1 million de francs sur le seul dossier Istres Promotion, dans lequel certaines factures apparaissent sans rapport avec la raison d'être de l'association: sondage politique, frais de campagne électorale, cartes de voeux, places de football à l'OM, billets à l'Opéra de Marseille. Quant à l'Aosvi, elle réglait des frais sans grand lien avec son objet - les oeuvres sociales du personnel communal: des voyages d'étude du maire (Russie, Japon, Chine...), des règlements de contraventions, et plus de 150 notes de restaurant, d'avion et d'hôtel, au nom d'un certain François Bernardini, parfois accompagné de son épouse... «Les associations étaient plus commodes. Je ne me suis rien mis dans la poche», clame l'ex-élu, qui devra s'expliquer à ce sujet dans les prochains mois.
Il y a aussi les tracas proprement judiciaires. Car des rapports de la chambre régionale des comptes sur la gestion d'Istres et sur le SAN (le syndicat intercommunal qui gère les budgets d'Istres-Fos-Miramas, dont Bernardini est le directeur général) ont été transmis au parquet d'Aix-en-Provence en 1996. Chargé de l'instruction, le juge Serge Mackowiak a, en juin 1997, mis en examen François Bernardini pour «abus de confiance, abus de biens sociaux, détournement de fonds publics». Les policiers de la brigade financière de Marseille ont achevé ces derniers jours une série d'investigations, transmises à la juge Imbert, qui a repris l'instruction. Selon plusieurs sources judiciaires, «les délits sont constitués». Autrement dit, les dossiers seraient épais.
Des exemples? L'ancien trésorier de campagne de Bernardini, Claude Ecoffet, a été employé - fictivement? - par une filiale de la Lyonnaise des eaux, après d'importants contrats signés avec la ville d'Istres et le SAN. Des permanents du PS ont été payés par ces collectivités locales. D'autres marchés (études, travaux, espaces verts, communication) ont, semble-t-il, profité à quelques fournisseurs privilégiés, dont Bernard Bonnet, un entrepreneur qui a présidé le club de foot d'Istres. La société gérant ce club sportif a été financée illégalement par des subventions.
Le train de vie de Bernardini a également été étudié. «Je ne crains rien», affirme l'intéressé. Mais, outre sa somptueuse villa au bord de l'étang de Berre, les enquêteurs ont été surpris de découvrir que Bernardini possède des biens immobiliers à Toulouse, à Bordeaux, en Espagne. Ainsi qu'à Paris, où, en 1991, il a acquis des parts d'un immeuble situé rue Tiphaine (XVe), loué depuis à des filiales de la Mnef. Or la gestion opaque de cette mutuelle étudiante fait l'objet d'une information judiciaire, ouverte en septembre dernier au parquet de Paris. Curieusement, Bernardini ne se souvient ni du prix payé, ni du loyer perçu, ni de la surface acquise dans cet immeuble. 800 mètres carrés? «Je n'en sais rien. Ce n'est pas moi qui m'en occupe.» Il a confié la gérance à un ami, Wilson Bihi Zenou. Cet homme d'affaires mystérieux se trouve au coeur des acrobaties financières suspectes de la Mnef (voir L'Express n° 2464).
La liste des bizarreries ne s'arrête pas là. Lorsqu'il fut vice-président du conseil général, au début des années 90, François Bernardini a également pris quelques libertés avec les règles de la comptabilité publique, en créant une association, l'Ocid (Office de communication et d'information départemental), qui a dépensé aveuglément 65 millions de francs. Autre dossier également transmis à la justice, dont on attend les suites.
Dernière broutille: le sous-préfet d'Istres a recommandé, en juin dernier, de déférer au tribunal administratif une décision du SAN attribuant une indemnité de logement de 3 000 francs par mois à son directeur général. Cet octroi à Bernardini serait désormais «dénué de tout fondement juridique». Anecdote piquante: de janvier 1986 à avril 1990, l'heureux directeur a touché cette prime deux fois par mois! «Simple erreur», plaide le bénéficiaire.
«Les gens me demandent d'être leur chef»
En dépit de ces attaques, l'ex-rugbyman Bernardini - que même ses ennemis jugent «courageux et intelligent» - fait front. Il s'affirme «serein». Et prépare son rebond politique. Inéligible localement, il dirige toujours le SAN. Cette véritable forteresse distribue subventions, emplois et contrats à l'ouest de l'étang de Berre. De quoi se faire des affidés. «Il est bien plus puissant que les maires. Il a mis en place un système clanique», proteste Claude Virion, l'un des rares élus de l'opposition qui ose l'affronter à Istres. «Les électeurs savent ce que je fais, ce sont eux qui trancheront», rétorque Bernardini.
S'il tient son fief, cet homme de pouvoir doit aussi se bagarrer au sein de la famille socialiste départementale. «Ici, les vulgaires débats d'idées ne doivent pas perturber les vraies querelles de personnes», ironise un vieux routier du parti. Démis en juin dernier, Bernardini a dû laisser son siège de président du conseil général des Bouches-du-Rhône - conquis en mars - à son ami Jean-Noël Guérini... qui lui fait déjà de l'ombre. «Je retournerai au conseil général», promet Bernardini. De même, son amie Sylvie Andrieux, la battante députée socialiste à qui il avait délégué au printemps ses fonctions de secrétaire fédéral, commençant à prendre ses aises, Bernardini a repris depuis l'automne toutes ses attributions. «Les gens me demandent d'être leur chef», tranche-t-il, alors que se dessine la bataille pour les municipales de 2001 à Marseille. Les socialistes prétendent en effet reprendre la mairie à Jean-Claude Gaudin. «Elaborons d'abord notre projet, la tête de liste viendra plus tard», supplient en choeur Patrick Menucci et Philippe Sanmarco, chargés de la campagne, qui craignent les divisions. Cependant, en coulisse, chaque clan socialiste a déjà son candidat préféré: Andrieux, Guérini, Vauzelle, Allègre... Fils unique d'un chauffeur de taxi fidèle à Gaston Defferre, Bernardini croit à sa revanche. «On verra», dit-il, énigmatique, à propos de son éventuelle candidature. «Ce serait catastrophique pour notre image», lâche, effaré, un socialiste du cru...
Le plus urgent pour Bernardini est de conserver son statut de député européen, puisqu'il lui procure à la fois émoluments et immunité judiciaire. Il veut être en bonne place sur la liste en juin 1999. «J'en ai parlé à François Hollande. J'ai entendu un présupposé favorable», dit Bernardini. Pourtant, quelques voix s'élèvent contre cette onction que le sommet jospinien du PS donnerait à ce baron empêtré dans les affaires. «Il y a quand même des questions d'éthique qui se posent», murmure un leader du PS. Ah bon?
Ouest Provence a décidement à sa tête des hommes au dessus de tout soupçon !
l'article :
Collectivités locales
Les casseroles de M. Bernardini
Par Nouzille Vincent, publié le 03/12/1998
Apparemment, les ennuis judiciaires du parrain socialiste des Bouches-du-Rhône ne font que commencer
«Affaibli, moi? Est-ce que j'ai l'air d'être affaibli?» Tête froide, voix posée, physique de taureau, François Bernardini, 45 ans, tient d'une main ferme depuis 1990 les rênes de la puissante fédération du Parti socialiste des Bouches-du-Rhône. Et, bien qu'il ait été démis d'office en juin dernier de tous ses mandats locaux pour irrégularités de gestion et mis en examen l'an passé, notamment pour détournement de fonds, il n'entend rien lâcher. Ce ne sont pas ces broutilles judiciaires qui vont stopper ce bulldozer politique, député européen et fabiusien de choc.
Des broutilles? François Bernardini croule en réalité sous les procédures, dont les rebondissements peuvent empoisonner les hautes instances nationales du PS dans les semaines qui viennent. Ancien adjoint aux finances à la mairie d'Istres, il est en premier lieu mis en cause dans la gestion d'associations paramunicipales (Istres Promotion et Aosvi, Association des oeuvres sociales de la ville d'Istres), largement subventionnées, dont il s'occupait. Ses casquettes d'élu et de dépensier - incompatibles en droit public - lui ont valu, en 1995, d'être jugé «comptable de fait», avec l'ancien maire socialiste d'Istres Jacques Siffre, par la chambre régionale des comptes. Depuis lors, tous deux ont multiplié les procédures. Mais ils ont finalement été forcés de démissionner de leurs mandats locaux par le Conseil d'Etat. Le commissaire du gouvernement avait alors fustigé une «volonté manifeste de se soustraire à la loi en s'inspirant d'un autre homme politique». Allusion meurtrière à Bernard Tapie. Mais François Bernardini n'a cure de ce parallèle: «Je vais engager un recours sur mon inéligibilité devant la Cour européenne de justice», dit-il.
Pourtant, il devra certainement régler de sa poche une partie des dépenses contestées, s'il veut obtenir quitus de sa gestion et redevenir éligible. Au bas mot, à ce jour, il y en a pour environ 1 million de francs sur le seul dossier Istres Promotion, dans lequel certaines factures apparaissent sans rapport avec la raison d'être de l'association: sondage politique, frais de campagne électorale, cartes de voeux, places de football à l'OM, billets à l'Opéra de Marseille. Quant à l'Aosvi, elle réglait des frais sans grand lien avec son objet - les oeuvres sociales du personnel communal: des voyages d'étude du maire (Russie, Japon, Chine...), des règlements de contraventions, et plus de 150 notes de restaurant, d'avion et d'hôtel, au nom d'un certain François Bernardini, parfois accompagné de son épouse... «Les associations étaient plus commodes. Je ne me suis rien mis dans la poche», clame l'ex-élu, qui devra s'expliquer à ce sujet dans les prochains mois.
Il y a aussi les tracas proprement judiciaires. Car des rapports de la chambre régionale des comptes sur la gestion d'Istres et sur le SAN (le syndicat intercommunal qui gère les budgets d'Istres-Fos-Miramas, dont Bernardini est le directeur général) ont été transmis au parquet d'Aix-en-Provence en 1996. Chargé de l'instruction, le juge Serge Mackowiak a, en juin 1997, mis en examen François Bernardini pour «abus de confiance, abus de biens sociaux, détournement de fonds publics». Les policiers de la brigade financière de Marseille ont achevé ces derniers jours une série d'investigations, transmises à la juge Imbert, qui a repris l'instruction. Selon plusieurs sources judiciaires, «les délits sont constitués». Autrement dit, les dossiers seraient épais.
Des exemples? L'ancien trésorier de campagne de Bernardini, Claude Ecoffet, a été employé - fictivement? - par une filiale de la Lyonnaise des eaux, après d'importants contrats signés avec la ville d'Istres et le SAN. Des permanents du PS ont été payés par ces collectivités locales. D'autres marchés (études, travaux, espaces verts, communication) ont, semble-t-il, profité à quelques fournisseurs privilégiés, dont Bernard Bonnet, un entrepreneur qui a présidé le club de foot d'Istres. La société gérant ce club sportif a été financée illégalement par des subventions.
Le train de vie de Bernardini a également été étudié. «Je ne crains rien», affirme l'intéressé. Mais, outre sa somptueuse villa au bord de l'étang de Berre, les enquêteurs ont été surpris de découvrir que Bernardini possède des biens immobiliers à Toulouse, à Bordeaux, en Espagne. Ainsi qu'à Paris, où, en 1991, il a acquis des parts d'un immeuble situé rue Tiphaine (XVe), loué depuis à des filiales de la Mnef. Or la gestion opaque de cette mutuelle étudiante fait l'objet d'une information judiciaire, ouverte en septembre dernier au parquet de Paris. Curieusement, Bernardini ne se souvient ni du prix payé, ni du loyer perçu, ni de la surface acquise dans cet immeuble. 800 mètres carrés? «Je n'en sais rien. Ce n'est pas moi qui m'en occupe.» Il a confié la gérance à un ami, Wilson Bihi Zenou. Cet homme d'affaires mystérieux se trouve au coeur des acrobaties financières suspectes de la Mnef (voir L'Express n° 2464).
La liste des bizarreries ne s'arrête pas là. Lorsqu'il fut vice-président du conseil général, au début des années 90, François Bernardini a également pris quelques libertés avec les règles de la comptabilité publique, en créant une association, l'Ocid (Office de communication et d'information départemental), qui a dépensé aveuglément 65 millions de francs. Autre dossier également transmis à la justice, dont on attend les suites.
Dernière broutille: le sous-préfet d'Istres a recommandé, en juin dernier, de déférer au tribunal administratif une décision du SAN attribuant une indemnité de logement de 3 000 francs par mois à son directeur général. Cet octroi à Bernardini serait désormais «dénué de tout fondement juridique». Anecdote piquante: de janvier 1986 à avril 1990, l'heureux directeur a touché cette prime deux fois par mois! «Simple erreur», plaide le bénéficiaire.
«Les gens me demandent d'être leur chef»
En dépit de ces attaques, l'ex-rugbyman Bernardini - que même ses ennemis jugent «courageux et intelligent» - fait front. Il s'affirme «serein». Et prépare son rebond politique. Inéligible localement, il dirige toujours le SAN. Cette véritable forteresse distribue subventions, emplois et contrats à l'ouest de l'étang de Berre. De quoi se faire des affidés. «Il est bien plus puissant que les maires. Il a mis en place un système clanique», proteste Claude Virion, l'un des rares élus de l'opposition qui ose l'affronter à Istres. «Les électeurs savent ce que je fais, ce sont eux qui trancheront», rétorque Bernardini.
S'il tient son fief, cet homme de pouvoir doit aussi se bagarrer au sein de la famille socialiste départementale. «Ici, les vulgaires débats d'idées ne doivent pas perturber les vraies querelles de personnes», ironise un vieux routier du parti. Démis en juin dernier, Bernardini a dû laisser son siège de président du conseil général des Bouches-du-Rhône - conquis en mars - à son ami Jean-Noël Guérini... qui lui fait déjà de l'ombre. «Je retournerai au conseil général», promet Bernardini. De même, son amie Sylvie Andrieux, la battante députée socialiste à qui il avait délégué au printemps ses fonctions de secrétaire fédéral, commençant à prendre ses aises, Bernardini a repris depuis l'automne toutes ses attributions. «Les gens me demandent d'être leur chef», tranche-t-il, alors que se dessine la bataille pour les municipales de 2001 à Marseille. Les socialistes prétendent en effet reprendre la mairie à Jean-Claude Gaudin. «Elaborons d'abord notre projet, la tête de liste viendra plus tard», supplient en choeur Patrick Menucci et Philippe Sanmarco, chargés de la campagne, qui craignent les divisions. Cependant, en coulisse, chaque clan socialiste a déjà son candidat préféré: Andrieux, Guérini, Vauzelle, Allègre... Fils unique d'un chauffeur de taxi fidèle à Gaston Defferre, Bernardini croit à sa revanche. «On verra», dit-il, énigmatique, à propos de son éventuelle candidature. «Ce serait catastrophique pour notre image», lâche, effaré, un socialiste du cru...
Le plus urgent pour Bernardini est de conserver son statut de député européen, puisqu'il lui procure à la fois émoluments et immunité judiciaire. Il veut être en bonne place sur la liste en juin 1999. «J'en ai parlé à François Hollande. J'ai entendu un présupposé favorable», dit Bernardini. Pourtant, quelques voix s'élèvent contre cette onction que le sommet jospinien du PS donnerait à ce baron empêtré dans les affaires. «Il y a quand même des questions d'éthique qui se posent», murmure un leader du PS. Ah bon?
hermod- Messages : 438
Date d'inscription : 01/10/2008
UN POUR TOUS, TOUS POURRIS
Et que faut-il en conclure quand les istréens le réélisent en 2008 ?
pourris il l'est, mais il nourrissait beaucoup plus de monde que les élus "honnêtes" donc les istréens préfèrent manger que penser !
et puis, il a promis de refaire basculer O.P. au seul bénéfice des Istréens comme du temps de sa présidence, certains y ont cru !
enfin de compte, les électeurs aiment bien les contes du Père Noël !
si on va chercher plus loin, les électeurs se conduisent comme nos "chers élus", ils vont là où l'intérêt est le plus grand !
j'ai même entendu des Istréens dirent que bernardini n'avait rien à se reprocher, que ce n'étaient que médisances et caballe pour le pouvoir !
après çà que dire ?... si ce n'est : CONTINUEZ !!!!
pourris il l'est, mais il nourrissait beaucoup plus de monde que les élus "honnêtes" donc les istréens préfèrent manger que penser !
et puis, il a promis de refaire basculer O.P. au seul bénéfice des Istréens comme du temps de sa présidence, certains y ont cru !
enfin de compte, les électeurs aiment bien les contes du Père Noël !
si on va chercher plus loin, les électeurs se conduisent comme nos "chers élus", ils vont là où l'intérêt est le plus grand !
j'ai même entendu des Istréens dirent que bernardini n'avait rien à se reprocher, que ce n'étaient que médisances et caballe pour le pouvoir !
après çà que dire ?... si ce n'est : CONTINUEZ !!!!
mifre12- Messages : 288
Date d'inscription : 12/05/2009
Re: UN POUR TOUS-TOUS POURRIS !
Mazette, quel CV ce Bernardini !
et on le réélit ?
comme quoi, plus t'es pourri, plus on t'élit !
décidément, l'honnêteté ne paie pas (pour autant qu'il y ait des gens honnêtes en politique)
écoeurant !
et on le réélit ?
comme quoi, plus t'es pourri, plus on t'élit !
décidément, l'honnêteté ne paie pas (pour autant qu'il y ait des gens honnêtes en politique)
écoeurant !
port-st-louisienne- Messages : 139
Date d'inscription : 18/04/2009
Re: UN POUR TOUS-TOUS POURRIS !
Suite de l'épisode : conseil général et régional-un système véreux !
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Nous avions l'affaire Weorth au niveau national, financement de l'ump par Mme bettencourt sur ses fond privés, à hauteur de 150 000 €, chez nous, nos barons "clientélisent" avec l'argent public vers des associations fictives (à quand un contrôle des subventions versées à des associations réelles mais qui n'ont aucune activité ?)................à hauteur de 700 000 €.
Extrait de l'article du figaro du 06 juin 2010
Nos socialistes locaux s'exprimaient ainsi sur leur site internet le soir de la "demi" victoire du PS aux régionales :
"mais également qu'ils accordent toute leur confiance aux socialistes et à la Gauche pour apporter une véritable alternative locale et voire nationale".
A lire ce qui suit, on peut au moins leur reconnaitre leur sens de l'humour !
[img][/img]
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Nous avions l'affaire Weorth au niveau national, financement de l'ump par Mme bettencourt sur ses fond privés, à hauteur de 150 000 €, chez nous, nos barons "clientélisent" avec l'argent public vers des associations fictives (à quand un contrôle des subventions versées à des associations réelles mais qui n'ont aucune activité ?)................à hauteur de 700 000 €.
Extrait de l'article du figaro du 06 juin 2010
Nos socialistes locaux s'exprimaient ainsi sur leur site internet le soir de la "demi" victoire du PS aux régionales :
"mais également qu'ils accordent toute leur confiance aux socialistes et à la Gauche pour apporter une véritable alternative locale et voire nationale".
A lire ce qui suit, on peut au moins leur reconnaitre leur sens de l'humour !
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hermod- Messages : 438
Date d'inscription : 01/10/2008
Re: UN POUR TOUS-TOUS POURRIS !
Socialistes et communistes de PSL, élus de la "gauche caviar", vous les avez soutenus, vous vous êtes revendiqués de leurs appuis "stratégique". Après la maffia CG13, dont l'issu judiciaire va encore mettre notre département en avant sur les affaires, c'est au tour du président de Ouest Provence de répondre devant la justice.
On comprend pourquoi notre gauche caviar tient tant à conserver la manne du département 13... Le SAN aussi n'est pas très clair. En 1998, le sous-préfet d'Istres avait recommander de déférer au tribunal administratif une décision du SAN attribuant une indemnité de logement de 3 000 francs par mois à son directeur général. Cet octroi à Bernardini serait désormais «dénué de tout fondement juridique». Anecdote piquante: de janvier 1986 à avril 1990, l'heureux directeur a touché cette prime deux fois par mois! «Simple erreur», plaide le bénéficiaire (http://www.lexpress.fr/informations/les-casseroles-de-m-bernardini_631375.html).
Et vous voulez nous faire croire que la disparition des départements et la réorganisation des intercommunalités nuira au citoyen ? Cela touchera la petite rente de situation de certains élus, et non des moindre dans les Bouches du Rhône !
Réquisition du procureur en appel :
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On comprend pourquoi notre gauche caviar tient tant à conserver la manne du département 13... Le SAN aussi n'est pas très clair. En 1998, le sous-préfet d'Istres avait recommander de déférer au tribunal administratif une décision du SAN attribuant une indemnité de logement de 3 000 francs par mois à son directeur général. Cet octroi à Bernardini serait désormais «dénué de tout fondement juridique». Anecdote piquante: de janvier 1986 à avril 1990, l'heureux directeur a touché cette prime deux fois par mois! «Simple erreur», plaide le bénéficiaire (http://www.lexpress.fr/informations/les-casseroles-de-m-bernardini_631375.html).
Et vous voulez nous faire croire que la disparition des départements et la réorganisation des intercommunalités nuira au citoyen ? Cela touchera la petite rente de situation de certains élus, et non des moindre dans les Bouches du Rhône !
Réquisition du procureur en appel :
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hermod- Messages : 438
Date d'inscription : 01/10/2008
prison requise pour Granié
Le nouvel observateur
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Petite info pour les contribuables :
Véritable rente de situation de nos politiques, qui y sont nommés et non élus par le peuple, les intercommunalités participent à la gabegie générale. D'ailleurs, combien nous coutent ces chers élus pour y siéger :
indemnités de fonctions des présidents et vice-présidents des intercommunalites
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Dernières nouvelles de nos intègres élus (Extrait de l'article deFrance soir du 09 septembre 2011)
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Dernière édition par hermod le Ven 9 Sep - 19:09, édité 2 fois (Raison : ajout article France soir)
hermod- Messages : 438
Date d'inscription : 01/10/2008
Nouvelle affaire de détournement présumé de fonds publics au Conseil général
Encore une fois notre conseil général est à l'honneur dans une affaire de détournement de fonds publics !
Gangréné par le clientélisme, les subventions bidons, les collusions entre certains politiques et le milieu, le voilà mis en défaut par le détournement de 500 000 euros en six ans par un employé du cg13. Et personne n'a rien vu...
L'article du Nouvel Observateur d'aujourd'huiGangréné par le clientélisme, les subventions bidons, les collusions entre certains politiques et le milieu, le voilà mis en défaut par le détournement de 500 000 euros en six ans par un employé du cg13. Et personne n'a rien vu...
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hermod- Messages : 438
Date d'inscription : 01/10/2008
Magouilles aux subventions des anciens présidents du CG13
Source : http://www.mlactu.fr/article/deux-anciens-pr%C3%A9sidents-ps-du-cg-13-sont-condamn%C3%A9s-%C3%A0-56-653-euros-damende/687
hermod- Messages : 438
Date d'inscription : 01/10/2008
Bernard Granié : condamnation confirmée
Source : maritima info du 12 septembre 2012[b]
hermod- Messages : 438
Date d'inscription : 01/10/2008
Affaire Guérini, quelques (1ère) révélations !
Un article de Lyon Capitale, ou une affaire réactualisée avec la visite dans nos murs de jean Noel Guerini et révélé par le "petit Reporter.... info ici https://fr-fr.facebook.com/pages/Petit-Reporter-de-Port-Saint-Louis/163174643694765
Extraits de l'article :
Le président PS du conseil général des Bouches-du-Rhône a été mis en examen lundi 3 juin par le juge d'instruction Charles Duchaine. Lyon Capitale révèle le contenu de sa garde à vue du 2 avril dernier.
Les enquêteurs touchent ici au cœur du dossier, qui repose sur les interventions d’Alexandre Guérini dans la mise en place d’hommes de confiance au sein de plusieurs satellites du conseil général, notamment Jean-Louis Jaubert à la technopole de l’Arbois près d’Aix-en-Provence ou Jean-Philippe Mignard à la Semidep, la société d’économie mixte chargée de réhabiliter les sites des anciens chantiers navals de La Ciotat. Dans un deuxième temps, Bernard Barresi apparaît pour bénéficier de marchés publics via notamment une société-écran dénommée ABT.
La tension va atteindre son paroxysme à l’évocation du conflit qui oppose la municipalité de La Ciotat au conseil général sur certains projets immobiliers qui font intervenir le clan Barresi-Campanella, avec en toile de fond l’intervention de la Semidep.
Extraits de l'article :
Le président PS du conseil général des Bouches-du-Rhône a été mis en examen lundi 3 juin par le juge d'instruction Charles Duchaine. Lyon Capitale révèle le contenu de sa garde à vue du 2 avril dernier.
Les enquêteurs touchent ici au cœur du dossier, qui repose sur les interventions d’Alexandre Guérini dans la mise en place d’hommes de confiance au sein de plusieurs satellites du conseil général, notamment Jean-Louis Jaubert à la technopole de l’Arbois près d’Aix-en-Provence ou Jean-Philippe Mignard à la Semidep, la société d’économie mixte chargée de réhabiliter les sites des anciens chantiers navals de La Ciotat. Dans un deuxième temps, Bernard Barresi apparaît pour bénéficier de marchés publics via notamment une société-écran dénommée ABT.
La tension va atteindre son paroxysme à l’évocation du conflit qui oppose la municipalité de La Ciotat au conseil général sur certains projets immobiliers qui font intervenir le clan Barresi-Campanella, avec en toile de fond l’intervention de la Semidep.
plus sur la SEMIDEP ICI : http://www.laciotat-shipyards.com/fr/presentation/structure-et-gouvernance.html
_______________________________________
La classe moyenne est fatiguée de toutes ces affaires, de tous ces politiques qui ne pensent qu'à cumuler les fonctions (grassement payés), ne parlent que de défendre le peuple pendant que ce dernier voit sa facture d'impôt grimper d'année en année pour ne rien voir à l'horizon, sauf des dettes à payer. Faudra pas s'étonner de voir prochainement des résultats "à la Brignolles", où les trois quart des électeurs ne se déplace même plus et où le reste vote pour des partis populistes ! politiques, vous êtes devenus insupportables aux yeux de ceux qui se lèvent le cul tous les jours pour aller bosser !
Pendant ce temps, la nomenklatura se goberge !
hermod- Messages : 438
Date d'inscription : 01/10/2008
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