SQUATTEURS A PORT SAINT LOUIS DU RHONE

Sous prétexte que leur immeuble (ancien immeuble ESSo au Faubourg Hardon) fait parti de l'espace acheté pour construire la soi-disant "maison de retraite", les locataires ont été priés de quitter les lieux !
ils ont obéï avec l'arrachement au coeur, le déménagement n'est pas fini pour tous mais en cours !
et voilà que les lieux ont déjà été investis pas des SQUATTEURS !!!
des personnes étrangères à la ville, pour ne pas dire étrangères à la France !
et que fait la mairie, elle va tolérer cet été de fait ? comme elle tolérait les squatteurs à l'ancien "moulin" ?
la ville est devenue la porte ouverte à toutes les dérives !
la banderole porte ses fruits : PORT SAINT LOUIS, TERRE D'ASILE !!!!!
je pense que les habitants du Faubourg Hardon vont beaucoup apprécier la plaisanterie !

mifre12 a écrit:Sous prétexte que leur immeuble (ancien immeuble ESSo au Faubourg Hardon) fait parti de l'espace acheté pour construire la soi-disant "maison de retraite"

Encore un projet qui avait été caché pendant les municipale cette maison de retraite en ces lieux...

est-ce que cet immeuble ESSO est cette belle bâtisse 1900 à deux étages, entourée d'un mur de briques qui donne face au canal ? si c'est le cas c'est vraiment dommage de la détruire!

C'est bien de cette bâtisse que l'on parle !

je ne dis pas qu'elle va être rasée mais elle a été vendue avec les terrains de l'ancien ESSO. Les locataires qui y résidaient ont été invités à déménager depuis quelques mois !

c'est sur ces terrains que le projet immobilier dont la "maison de retraite" ou "village de retraite" doit être réalisé !

si rien n'est fait pour sécuriser cette habitation et empêcher le "squatt", rien ne garantit que toutes les maisons inhabitées de la ville ne vont pas subir le même sort !
va-t-on devenir le BIDONVILLE du département ??????

Si il s'agit de cette maison, il faut absolument la conserver et la restaurer car je pense que c'est une des rare maison ancienne de notre ville, voir même la seule maison "de maître" qu'il y ai chez nous.